Le dernier soir, que j'étais un hôtel, je me demandais ce qu'il allait m'attendre. La première nuit j'avais baisé avec la mère, la deuxième nuit j'avais baisé avec la fille, je me sentais un peu fatigué, les couilles vident, et pensait profiter de ma nuit de repos.

Comme d'habitude après le repas, je pris ma douche, je m'installai à poil sur mon lit pour regarder la télévision.

Vers 11:00 du soir, petit grattement à ma porte, je me levais, et aller entrouvrir la porte. J'étais bien sûr à poil, la bite et les couilles pendantes.

Je ne fais pas surpris de voir la patronne, derrière la porte je m'y attendais un peu. J'ouvris la porte en grand, et que ne fut pas ma surprise de voir que la fille était derrière sa mère. Elles pénétrèrent toutes les deux dans ma chambre et refermèrent la porte derrière elles.

Je n'ai pas le temps de dire ou de faire quelque chose que déjà la gamine, s'était mis à genoux entre mes jambes, avait saisi mes couilles de sa main droite, et happé mon sexe dans sa bouche juvénile. Pendant ce temps-là sa mère me roulait une pelle.

Je me retrouvais allongé sur le lit. Pendant que la fille continuait à me sucer la bite, la mère entrepris de se foutre à poil. Chemisier, soutien-gorge, et petite culotte furent vite enlevées. Elle prit sa culotte et me la mis sur le visage, et  je respirais avec bonheur son odeur de femelle en chaleur qui s'en dégageait. Cela me fit bander plus dur dans la bouche de la fille.

La mère vint se mettre à califourchon au-dessus de mon visage, coinçant mes bras par ses cuisses, elle approcha sa vulve ruisselante de mouille et d'excitation, ouvris à pleine main ses lèvres sexuelles, et commença à se frotter le clitoris sur mon nez et sur ma bouche. J'enfonçais ma langue au plus profond de son trou à pisse.

Pendant ce temps-là sa fille continuait à s'occuper de mon braquemart, puis une fois bien raide et bien droit, elle se l’enfonça dans la chatte et commença un mouvement de balancier afin de bien sentir ma queue au plus profond de son ventre. La mère et la fille gémissaient ce qui m'excitait encore plus.

Puis la mère se retira, est sorti de je ne sais d'où, une ceinture godemiché.

« Mon salaud, je vais t'en culer pendant que tu vas niquer ma fille. Tu vas voir comme c'est bon. Tu t'es déjà fait enculer ?

-Jamais par un godemiché » répondis-je.

Elle enfila la ceinture gode, pendant ce temps-là, sa fille se désempale de ma queue, son sexe ruisselant. Elle se mit en levrette, et je la pris par derrière. J'enfonce doucement ma grosse bite dans sa vulve ouverte et suintante. Elle gémit de plaisir en sentant ma grosse pine entrer dans sa chatte de jeune fille bien glabre et lisse comme un abricot. J'en profite pour la choper par ses petits seins et malaxer ses tétons qui durcissent.

Pendant ce temps-là sa mère, m'écarte le trou du cul, et s'enfonce bien profond. Sous cette poussée, je sens ma bite durcir encore plus. Et nous commençons un va-et-vient moi dans la chatte de fille, et elle dans mon cul. Après quelques minutes de ramonage, la mère, enlève sa ceinture godemiché, et vient s'asseoir sur le visage de sa fille qui s'est allongée de nouveau sur le dos, et dont j'ai relevé les cuisses pour mieux la niquer par devant. Je sens mes couilles battre sa vulve et son vagin très serré, me comprimer ma bite. Sa mère pendant ce temps-là s'est assise sur la bouche de sa fille et se fait lécher la vulve, et titiller le clito.

Puis, les rôles s'inversent, je pénètre la mère pendant que la fille se fait lécher le sexe par sa mère. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir.

Alors je me retire, la petite me prend le braquemart d'une main, et me malaxe les couilles de l'autre, afin que je crache ma semence, sur les seins de sa mère. Je sens ma bite avoir des soubresauts le jus monte, et je commence à gémir alors la gamine me fout un doigt dans le trou du cul ce qui provoque mon éjaculation.

Je crache mon sperme en longues giclées sur les seins de la mère. Ensuite elle me nettoie avec sa bouche en se délectant des dernières gouttes de mon foutre. Puis, la mère et la fille s'en vont, et je m'écroule complètement crevé et m'endors sans tarder.