depuis le temps qu'elle le cherchait, elle a réussi la salope. Je pourrais être plus que son père, mais apparemment cela ne la dérange pas de se faire tirer par un vieux. Elle a un peu plus d'une vingtaine d'années, brune, avec des petits seins bien ronds et bien fermes en forme de pommes. Bien sûr, j'ai toujours bander envoyant son petit cul rebondi, m'imaginant enfoncer ma pine dans sa petite fente bien serrée et bien lubrifiée.
Elle a profité qu'elle était seule chez ses parents pour m'appeler à fin de soi-disant changé une lampe au plafond qui ne fonctionnait plus.
Elle était comme d'habitude, sexy, en minijupe, et un T-shirt tellement décolleté que je pouvais admirer ses petits seins qui non pas besoin de soutien-gorge.
Je pénétrai dans sa chambre, à fin de l'aider à changer sa lampe. Elle amena un escabeau et une ampoule, me demanda de tenir escabeau, et se mit à grimper sur celui-ci. Elle fit tout pour non seulement me montrer son cul, mais aussi sa petite chatte. Celle-ci était lisse et fendue comme un abricot sans un seul poil. Évidemment je sentis ma queue se dresser dans mon pantalon. Elle redescendit de l'escabeau, et comme par mégarde trébucha et se colla contre moi elle me roula une telle, tout en me caressant le sexe à travers le pantalon. Elle me sortit ma bite et commença à me branler. Je lui pelotait les seins à travers le T-shirt, et je mis ma main entre ses cuisses qu'elle écarta pour faciliter ma caresse. Je pris son clito entre le doigt et l'index,il commençait à le tripatouiller, puis je lui mis deux doigts dans la vulve. Elle gémit, puis elle se mit à genoux, se saisit de ma bite, posa ses lèvres autour de mon gland, puis me pompa.
J'avais le braquemart bien dur et bien raide. Elle me fit allonger par terre, et s'asseya sur mon visage, j'entrepris alors de lui fourrer la fente avec ma langue et de lui titiller le clito. Elle gémit de plaisir tout en me branlant la queue. Puis elle se retourna, et s'empala direct sur mon braquemart.
J'ai voulu commencer un mouvement de va-et-vient, mais d'un geste elle me fit comprendre que je ne devais pas bouger. Et elle commença alors un mouvement de bascule avec son bassin, et se fit reluire sa boite à pisse.
Elle gémit de plus en plus fort, et je sentis sa mouille couler sur mes couilles.
Puis, elle se releva, se mit en position de levrette.
Je viens derrière elle, et lui rentre mon chibre à fond jusqu'aux couilles, et commence à la pistonner a grands coups de boutoirs, mon ventre claquant son cul, et mes couilles ballottant dans le vide. Elle gémit de plus en plus vite et de plus en plus fort, et je sens mon jus monté de mes burnes. Je lui dis alors que je vais cracher mon foutre et commence à vouloir me retirer.
Elle me retient et me dit de me vider dans sa petite chatte serrée et comme je n'en peux plus, je gémis en lâchant ma purée, et elle en profite pour me malaxer les couilles pour me vider à fond.
Je me retire, et c'est alors qu'elle me fait mettre à genoux, me prend la tête, et me dit de nettoyer sa petite chatte dégoulinante de mon foutre. Nos deux odeurs sexuelles mêlées m'excitent, et je lui lèche la foune en lui écartant bien ses petites lèvres de sa vulve.
Sous l'effet de ma langue, elle ne peut se retenir, et me lâche un petit jette pisse, que je m'empresse d'avaler en gémissant.
Je me relève, elle rabat sa jupe, et me roule une pelle. Elle baisse la tête elle voit que je commence de nouveaux aborder.
Malheureusement ses parents vont rentrer.
Tout cela s'est passé sans un mot.
La jeune salope me dit alors : « pour un vieux, tu à encore la queue bien raide, et tu sais bien encore baiser.Le pied, serait de me faire baiser par toi et par mon père en même temps . Cela te dirait ?»
et je lui répondis que ce serait avec plaisir.