en ce bel automne, il est encore agréable de boire une bonne bière en terrasse. J'avais mon GSM connectés sur le bout ou comme il est en permanence, et un moment, mon portable me signale qu'une personne située pas très loin de moi essayait d'entrer en contact avec moi via le Bluetooth.
J'acceptais la connexion. Le message disait que la bière faisait pisser. Je regardais autour de moi et je ne dis personnes. Je demandais à mon tour ou mon interlocuteur se trouvait et j'ai reçu en guise de réponse : « je n'ai pas mis de culotte, si tu veux mieux voir, viens me rejoindre aux toilettes du bistrot ».
Aimant profiter des bonnes choses de la vie je me dis que me soulager les couilles serait une bonne chose. J'avais d'un pas décidé aux toilettes qui se situaient au sous-sol. Une fois entrée j'entendais des bruits de froissement de tissu derrière une porte.
Tout en approchant je sentais l'excitation monter en moi, et ma queue grossir. J'ouvris la porte puisqu'elle n'était pas fermée à clé. Une superbe salope était la jupe relevée qui exhibait sa belle chatte bien épilée.
Je rentrai avec elle, et elle me mit tout de suite la main dans la culotte, pour me caresser la queue et les boules. Elle s'agenouilla, en ouvrant la braguette, et me fit sortir mon braquemart déjà bien raide.
Elle commença par me sucer langoureusement, en lâchant décrit comme si elle mangeait avec grand appétit. Elle abaissa ensuite la cuvette WC et se mit à genoux sur cette dernière, en me tendant sa croupe.
Quel cul magnifique, je commençais à lui doigter le cul, et à lui caresser la vulve. Puis je m'agenouille, et enfonça ma langue dans son vagin odorant de pisse qui commençait à s'humidifier.
Elle gémissait sans retenue. Une fois sa vulve bien huilée, je me relevais et je l'empalai avec ma bite bien raide. Je commençais un grand va-et-vient, et lui dilatait sa boîte à pipi, pendant que d'une main, je lui triturai le clitoris qui était gonflé.
Je sentis alors ma semence monter, et je lui crachais plusieurs giclées de foutre dans sa chatte accueillante.
Elle se retourna, et s'agenouilla, emboucha ma queue, et la nettoya de fond en comble des goûtes de sperme qui restaient encore.
puis nous nous sommes rhabillés et nous nous sommes séparés.
Ce fut un bel après-midi.